Cathédrale
 

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Clergé
En 1770, le clergé se composait de  147 personnes:
1 archevêque
50 chanoines
80 chapelains titulaires
16 chapelains de chœur
Le Chapitre en 1770 :
Mgr de la Rochefoucauld (1759)
Terrisse (1732, Doyen en 1750) - Rue des Cinq Cerfs
Davoult (1745, Grand Chantre en 1745) - Rue Saint-Romain
De la Rue (1735, Trésorier) - Rue de la Chaîne
De Goyon (1763, grand Arcidiacre) - Communauté de Saint Patrice
Marescor (1759, Archidiacre d'Eu en 1763) - Rue des Chanoines
De Lastic (1741, Archidiacre du Vexin Français en 1763) - à Pontoise
De Clercy (1774, Archidiacre du Vexin Normand) - Rue Faucon
Fossard (1747, Archidiacre du Petit-Caux en 1751) - Sur le Chapitre
Cornet (1748, Chancelier) - Rue Ganterie
Gresil (1714) - Rue des Bonnetiers
De Marcouville (1732) - Rue Saint-Romain
De Menibus (1738) - Rue des Quatre-vents
D'osmond (1731) - Rue Saint-Romain
Duval (1741) - Rue Saint-Nicolas
De Sauchay - Rue des Chanoines
Ruellon (1742) - Prieuré Saint-Lô
De la Rue (1740) - Rue de la Chaîne
Le baillif-Ménager (1735) - Rue Beauvoisine
Rosset (1745) - Rue de la Chaîne
De Bonislent - Rue de la Croix-de-Fer
Flavigny (1748) - Rue Saint-Lô
Perchel (1749) - Rue Saint-Nicolas
De Saint Gervais - Rue des Bonnetiers
Le Rat (1751) - Rue Saint-Romain
Gaillard (1753) - Rue d ela Chaîne
Marescot - Sur le Chapitre
De Sozay (1752) - Rue Saint-Nicolas
Dangerval (1754) - Rue Sainte-Croix-des-Pelletiers
Hébert - Rue Saint-Amand
De Maisons (1755) - Rue de l'Ecole
Le Clerc-de-Beauberon - Aux Carmes
Desmoulins (1756) - Rue aux Ours
Papillaud (1758, Grand Pénitencier) - Rue des Chanoines
De Mesonval (1756) - Rue de l'Ecole
Des Houssayes (1759) - Près de Saint-Amand
Rimbert (1761) - Rue de la Grosse-Horloge
De Quiefdeville - Rue Saint-Romain
Rondel (1762) - Rue du Merrier
Le Baillif-Mesnager le jeune (1763) - Derrière les murs Saint-Ouen
Bourgeaux (1765) - Devant saint-Amand
De Lurienne - Rue de l'Ecole
De la Bruyère (1766) - Rue Saint-Romain
Bridelle (1767) - Rue des Bonnetiers
De Morlet (1768) - Rue Saint-Romain
Osmont (1769) - Rue Croix-de-Fer
Sevestre - Rue Croix-de-Fer
Clemence (1771) - Près des Mathurins
D'Omonville - Rue Saint-Romain
De marbeuf (1772) - Rue Ganterie
Le Sueur (1774) Rue Saint-Romain
De Ronssy - Cour Saint-Ouen
Huet-d'Amoinville - Rue de la Croix-de-Fer

Dupuy (Secrétaire) - Rue de la Seille
Le Febvre (Agent, Archiviste et Receveur des Collèges) - Rue du Petit-Salut
Barabé (Huissier - Cour des maçons

 
Mobilier
Le retable du Grand-Saint-Romain, autrefois placé dans la chapelle du transept sud, est en cours d'installation dans la chapelle Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
 
Tableaux
1 Le Christ en croix       C. St-Etienne
1b Déposition du Christ       C. St-Etienne
2 La Cène       C. St-Eustache
3 Christ de douleur (Ecce Homo) XVIIe s.     C. St-Léonard
4 Flagellation du Christ Fin XVIe s.     C. St-Pierre
5 La Sainte famille XVIIe s     Blé Euch.
6 Mariage mystique de Ste-Catherine       Blé Euch.
7 Le Christ à la colonne deb. XVIIe s   Retable C. Ste-Catherine
7b Vie de saint Brice     Dans les boiseries C. Ste-Catherine
8 La Ste Famille fin XVIIe s     C. Ste-Marguerite
9 Vie de saint Romain Fin XVIe s   Peinture sur bois. C. Pt-St-Romain
10 Vie de saint-Romain Fin XVIe s   idem C. Pt-St-Romain
11 Mort de st Joseph XVIIIe s. Philippe Sauvant   Transept sud
12 Jésus et la Samaritaine XIXe s. Jean-Charles Tardieu Don de Napoléon III. Déambulatoire
13 La mise au tombeau v. 1600 Cardi da Cigoli Don de Mgr. Fuzet Déambulatoire
14 Sainte Famille       Déambulatoire
15 Les adieux de saint Pierre et saint Paul XVIIe s
1680
P. Le Tellier Chap. st Pierre et st Paul.
Avait été peint pour cette chapelle
C. St-Pierre et St-Paul
15b L'Ascension XIXe s. D'après Murillo   C. St-Pierre et St-Paul
16 Le Vœu de la reine Marie Leszczynska v. 1730 A été attribué à Natoire Transept nord Transept nord
17         C. Ste-Agathe
18 Remise du Rosaire à st Dominique XVIIe s.     C. St-Jean de la Nef
19 La Sainte Famille fin XVIIe s     C. St-Sever
20 Le Christ et les petits enfants XVIIe s     C. St-Sever
21 Le Christ mort sur la Croix 1588 Michel I du Joncquoy Commandé pour les Chartreux, a été acheté tout de suite par le Chapitre
Chap. St-Julien
C. St-Julien
22 Annonciation XIXe s.     C. St-Julien
23 Saint-paul devant Agrippa et Festus XVIIe s     C. St-Eloi
24 Déposition de St Sébastien XVIIIe s     C. St-Eloi
25 Annonciation XVIIe s. D'apès Fancesco Albani   C. des Fonds
26 Mort de sainte Cécile   Blazes   C. St-Nicolas
27 La Vierge et l'enfant   L. de La Hyre (At.)   C. St-Nicolas
28 La Sainte Famille       C. Ste-Agathe
29 L'Adoration des Bergers 1644 Philippe de Champaigne Payé le 12 octobre 1644 par la confrérie de Notre-Dame Dans le retable C. Vierge
30 Portrait de la Vierge XVIIe s.   Offert par Antoine de de Lamare. Tour St-Romain
31 Saint Jean-Baptiste au désert XVIIe s.     Tour St-Romain
32 L'Ascension   Jean Jouvenet   MBA

Tour de Beurre

1 - Le Christ en croix

1b - Déposition du Christ

Bas côté sud

2 - La Cène 3 - Ecce Homo 4

5 - La Sainte Famille 6 7 - Le Christ à la colonne

         
  7b - Vie de saint Brice  

8 - La Vierge entre ses parents 9 - Vie de saint Romain 10 - Vie de saint Romain

Transept sud

 

 
 

11 - Mort de st Joseph

 

Déambulatoire

12 - Jésus et la Samaritaine 13 14
 

 

15 - Adieux de Saint-Pierre et St Paul

15b - Ascension

Transept nord

   
  16  

Bas côté nord

17 18 - Remise du Rosaire à st Dominique 19 - La Sainte famille

20 - Le Christ et  les petits enfants

21 - Le Christ Mort sur la Croix

22 - Annonciation

23 - Saint-paul devant Agrippa et Festus 24 - Déposition de St Sébastien 25 - Annonciation

26 - Mort de sainte Cécile 27 - La Vierge et l'enfant 28
Chapelle de la Vierge
   
  29 - Adoration des Bergers  
Tour Saint-Romain

30 - Portrait de la Vierge

31- Saint Jean-Baptiste au désert

     
Conservés au Musée des Beaux Arts
   
  32 - L'Ascension  
 
Tapisseries
Le trésor de la cathédrale possède un bel ensemble de tapisseries. Certaines proviennent de l'église Saint-Vincent. Elles illustrent la Vie du Christ.
Dans les inventaires du XVIIe siècle sont mentionnées des tapisseries représentant la vie de la Vierge et de saint Romain données par Robert de Croixmare, des vies de saint Jean et de saint Georges aux armes de Georges 1er d'Amboise, et maintes autres pièces qui décoraient le chœur. Ces tapisseries ont disparu durant l'époque révolutionnaire, sauf une Assomption de la Vierge (maintenant à l'Archevêché)
Au XIXe siècle, on a entrepris de reconstituer ce décor avec des tapisseries de basse lisse d'Aubusson ou de Felletin. Elles représentent la vie d'Esther, celle de saint Paul, l'histoire de l'enfant prodigue, les travaux de Grégoire le Grand et le sacre d'un roi de France.
Elles étaient au nombre de 24 avant la 2eme guerre mondiale. Il en manque cinq.
Conversion de saint Paul Travaux de saint Grégoire le Grand Saint-Pierre et saint-Paul
Ravissement de saint Paul Constance de saint-Paul Esther devant Assuerus
Couronnement d'Esther Triomphe de Mardochée Condamnation d'Aman
Départ de l'Enfant Prodigue Dérèglement de l'Enfant Prodigue Sacre d'un roi de France
Saint Paul L'envoyé de Mardochée exhorte Esther  
Tapisseries de Saint-Vincent

Jésus parmi les Docteurs

Arrestation du Christ

Jésus parmi les Docteurs

 

 
 

L'Ascension de Jésus-Christ

 
 
Vitraux
Voir sur Rouen-Histoire.
 
Orgues
La cathédrale possède deux instrument :

Un orgue de tribune

Un orgue est connu dans la cathédrale depuis le XIVe siècle. L'instrument a connu bien des interventions de grands noms de la facture d'orgues (Ponthus Josseline en 1512, Crespin Carlier en 1600-1623, Guillaume Lesselier en 1620, Claude de Villier en 1642...
L'instrument ayant été très gravement endommagé par l'ouragan de 1683, le Chapitre décida sa reconstruction, confiée au facteur Robert Clicquot. Le buffet avait été réalisé par Joseph Pilon (c'est le buffet actuel)
Restauré, modifié, amplifié, il a té reconstruit par Nicolas Lefebvre en 1763-1772.
Après la Révolution, l'instrument a été remis en état par Guillaume Lebreton en 1803, et transformé en un instrument symphonique par Merklin en 1882.
 
Cet instrument devait pratiquement disparaître lors des bombardements de 1944.
En 1956, il a été entièrement reconstruit par les ateliers Jacquot-Lavergne et inauguré le 24 juin 1956, lors de cérémonies de réouverture de la cathédrale, par l'organiste Marcel Dupré.
Le buffet est formé de cinq tourelles. Le positif en possède trois.

Un orgue de Chœur

L'instrument a été construit en 1896 par Cavaillé-Coll pour le grand organiste Albert Dupré. Il était dans sa maison de la rue du Vert Buisson.
Il a été offert à la cathédrale en 1945 par son fils Marcel.
Il est venu remplacer une instrument construit en 1847 par le facteur Ducroquet, détruit par le terrible bombardement d'avril 1944.
Le buffet comporte trois faces plates (13 tuyaux au centre et neuf sur les côtés). Entre-elles, deux colonnes de trois tuyaux ont été ajoutées par Cavaillé-Coll à la demande de Marcel Dupré.
Il est surmonté d'une corniche comportant les initiales A D (d'Albert Dupré)
Il a été relevé en mars 1991 par la facteur J.-M. Cicchero.

 
Cloches
Dans la Tour de beurre :
La plus remarquable cloche que contenait la Cathédrale était le bourdon Georges d'Amboise. On décida en 1500 de sa fabrication et on chargea du travail Jean Le Machon, de Chartres. On voulait une cloche de 42 000 livres (soit 20,5 tonnes) Le fondeur s'installa dans l'aître, au pied de la tour et commença le moule. En 1501, devant les problèmes technique que posait la résistance du beffroi, on se résolut à ramener le poids à 36 000 livre (17,5 tonnes) Le diamètre était de 8 pieds 4 pouces (2,7 m) et la hauteur de 10 pieds (2,25 m). Le battant en a été conservé. La fonte eut lieue le 30 juillet 1501. Le fondeur serait mort de joie le 21 août et fut inhumé dans la Cathédrale, au bas de la nef. Elle fut montée dans la tour de Beurre le 16 février 1502. Elle n'était mise en branle que dans les grandes circonstances. Elle a été fêlée le 28 juin 1789 en saluant l'entrée de Louis XVI. Elle a été brisée en 1793 et ses débris envoyés à Romilly pour être convertis en canons. On fit quatre médailles des fragments.
Dans la tour Saint-Romain :
Il y avait onze cloches dans la tour Saint-Romain (appelée donc parfois "la tour aux Onze-Cloches").
Le grand Saint-Benoît.
La Joseph donnait le si.
La Robin (ou Robin de Luz)donnait le la.
La Nicolas donnait le sol.
La Complie (ou Complétorium).
La Petite-Marie de 1467.
La Saint-Romain que l'on attribuait au VIIe siècle.
La Neuf-Saints.
La Thibault. Elle portait le nom de son donateur (mort en 1213) et avait été refondue en 1685. Elle sonnait le fa.
La Rigault portait le nom de son donateur, l'évêque de Rouen Eudes Rigault. Elle datait du XIIIe siècle. Elle donnait le mi. On donnait à boire largement à ceux qui la tiraient d'où l'expression "Boire à tire la Rigault".
La Marie-d'Estouteville fondue en 1467 par le fondeur Chapuzot à partir de la Neuf-Saints. Elle pesait 16 000 livres (plus de 7,2 t)
La dernière avait été offerte en 1470 par le cardinal Guillaume d'Estouteville et portait son nom. Elle pesait 1 500 livres (380 kg)
La Quatr'une (ou la Réunie, ou encore la Princesse) avait été fondue en 1686 par Jean Aubert de Lisieux avec le métal de quatre cloches : la Guillaume-d'Estouteville, la Saint-Romain, la Petite-Marie et la Completorium. Elle donnait le . Il fallait six hommes pour la faire sonner car elle pesait environ 10 380 livres (5 t).
Dans la Tour lanterne :
Après l'incendie de la flèche en 1514, il y avait également cinq cloches dans la tour lanterne : La Victrice qui donnait le la, La Mellon (ou l'Echelle) qui donnait le si, la Nicaise (ou Maillard) qui donnait le ut, la Maur (ou Mortuaire) qui sonnait pour la mort d'un chanoine, donnait le et la Ouen (ou Ouinet, ou encore Louise-Quinet) qui donnait le carême avec le mi.

Toutes ces cloches furent descendues en 1793, sauf la Quatr'une.
Après le Concordat, le clergé entreprit la reconstitution du carillon.
Le bourdon Louis-Marie-de-Bailleul était au XIXe siècle la plus grosse cloche de Normandie. Elle pesait 6 669 kg et avait été fondue par Bollée, du Mans, avec le métal de la Quatr'une, auquel on avait ajouté 1 482 kg de bronze. La fonte eut lieue le 21 décembre 1850 et la cloche montée dans la tour Saint-Romain le 21 février 1851. On dut le refondre peu après car il ne répondait pas aux attentes.
La Henriette-Caroline avait été fondue par L. Maire et les frères Cartenet et livrée le 11 avril 1825. Elle a été bénie le 20 avril 1826.
La Jean pesait environ 2 000 livres (979 kg) Elle avait été fondue en 1400 par Jean de Benta, puis refondue en 1780 par le fondeur liégeois Chaudoir. Elle provenait de la collégiale de cette ville.
La Marie qu'on appelait aussi La Petite-Marie, fondue en 1774 également à Liège par Chaudoir pour la collégiale Saint-Bathélemi. Enlevée en 1796, elle a donc été aussi achetée par l'archevêque Mgr Cambacérès. Elle pesait environ 1 400 livres (635 kg)
En 1825, une cloche de 8 000 livres (3,6 t) fut coulée par les fondeurs L. Maire et les frères Cartenet. Elle s'appelait Henriette-Caroline.
En 1913, Mgr Fuzet voulut dédier une cloche à Jeanne d'Arc dont le culte commençait, pour remplacer la Georges d'Amboise. Il ne put aller jusqu'au bout, son successeur, Louis Dubois, confia le travail à la société Paccard d'Annecy. Ce n'est qu'en 1920, après la guerre, qu'elle put être montée dans la tour Saint-Romain. Pour l'accompagner, on construisit un carillon de 29 cloches (nombre porté ensuite à 50, voir l'histoire de ce carillon sur Rouen-Histoire)

La Jeanne d'Arc, détruite le 1er juin 1944 lors de l'incendie de la tour, à été remplacée par une nouvelle cloche, plus petite (9 600 kg, 2,30 m de diamètre) coulée en 1959 par H. et A. Packard d'Annecy. Elle sonne le la. Sa mise en branle en 1963 perturba l'architecture et il fallut attendre 1994 pour la réentendre.
Il y a cinq autres cloches à la volée dans la tour de Beurre :
La Germaine (1959, 4 500 kg,  1,95 m de diamètre) qui donne le la.
Agnès
(1959, 2 400 kg, 1,55 m de diamètre) qui donne le do.
Alyette
(1914, 1 500 kg, 1,33 m de diamètre) qui donne le ré.
Marie-Blanche
(1959, 1 250 kg, 1,22 m de diamètre) qui donne le mi.
et Bernadette (1959, 1 000 kg, 1,13 m de diamètre) qui donne le fa.
Elles ont été fondues par la société Paccard d'Annecy et baptisées le 23 avril 1959.

 
Confréries
Confrérie de Notre-Dame. Installée depuis le XIVe siècle.
 
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Bibliographie
Voyages Liturgiques de France, Moleon (Sieur de), 1718, p. 266-385
Histoire de la ville de Rouen, F. Farin, 3e ed., 1738, t. III.
Description géographique et Historique,..., Toussaint Duplessis, 1740, t II, p.23,...
Abrégé de l'histoire ... de la ville de Rouen,
Lecoq de Villeray, 1759, p.245-289.
Tableau de Rouen,
Machuel, 1777, p. 59-66.
Voyages dans l'ancienne France
, Taylor et Naudier 1825, T. II, p. 47-53, planches 123 à 142
Album Rouennais,
Dumée fils, Ch. Richard, 1847. 12 gravures.
Répertoire archéologique du départ. de la S.-Inf.,
Abbé Cochet, 1871, col, 374-375, 416-438.
La cathédrale,
M. Aubert, Congrès archéologique de 1926, 1927, p.11-71.
La sculpture monumentale de la cathédrale,
L. Lefrançois-Pillon, Congrès archéologique de 1926, 1927, p.72-101.
Vie du cardinal d'Amboise,
Louis Le Gendre, 1726, p. 495-500.
Les cloches des églises de Rouen,
Abbé Julien Loth, Rouen, 1903, p. 7-31.
Rouen,
C. Enlart, 1928, p. 28-59.
La cathédrale de Rouen,
Chanoine Jouen, Rouen, 1932.
La peinture d'inspiration religieuse à Rouen au temps de Pierre Corneille,
P. Rosenberg, 1984, p. 69-72, 88-90.
Orgues de Normandie, Seine-Maritime, t. II, 1992, p. 103-107.
Le trésor de la cathédrale de Rouen, L. Flavigny, 1993.
Rouen, un passé toujours présent,
Y. Pailhés, 1994, p. 10-29.
Haute-Normandie Gothique,
Y. Bottineau-Fuchs, 2001, p.286-322.
Rouen, du passé toujours présent... au passé perdu,
Y. Pailhés, 2004, p. 108-112.
Rouen à la Renaissance
, L.-R; Delsalle, 2007, p.220-237.
Rouen aux 100 clochers, F. Lemoine,
J. Tanguy, 2004, P. 18-23.
Rouen Insolite et Secret,
J. Tanguy, 2009, p. 92-95.
Rouen Primatiale de Normandie
, Collectif, La Grâce d'une cathédrale, Strasbourg, 2012.
Rouen Insolite et Secret, J. Tanguy, t. 3, 2013, p. 8-15.
Eglises et chapelles de Rouen, un patrimoine à (re)découvrir, J.-P. Chaline, AMR, 2017, p.67-72

© Copyright Jacques Tanguy, février 2013