Eglise Saint-Vincent

St-Vincent fut d’abord la paroisse d’opulents négociants de Rouen mais aussi celle du laborieux petit personnel du port, des nombreux entrepreneurs de main-d’œuvre travaillant pour les navires, de la batellerie et, enfin, d’équipages des pays scandinaves ou de marins normands, bretons ou bien d’étrangers. Ainsi, pendant plusieurs siècles, des africains, des “Indiens” d’Amérique du Sud, Brésiliens, des hommes et des femmes originaires des contrées du Nouveau Monde comme également d’Espagne, ont débarqué en cette paroisse à la population cosmopolite. Certains d’entre eux furent même baptisés à St-Vincent, église portant d’ailleurs le vocable d’un saint d’origine ibérique et plutôt tournée vers les colonies d’Amérique latine.
De fondation très ancienne (dès le Xe siècle), la présence de l’église St-Vincent n’est attestée qu’en 1169. A l’origine, elle était dénommée St-Vincent-sur-Rive, puisque située, à cette époque, hors les murs de la ville et au bord de la Seine. Le fleuve, autrefois plus large, s’écoulait juste en contrebas avec des quais qui accueillaient nombre de bateaux.

Longtemps, de petits navires votifs furent suspendus aux voûtes de St-Vincent, ex-voto rappelant que le port de Rouen possédait une paroisse entièrement tournée vers son fleuve et regroupant aussi une population des gens de la mer.
La paroisse a toujours été avantagée puisqu’elle bénéficia longtemps d’un revenu assuré. En effet, elle percevait des impôts sur chaque navire chargé de sel abordant le port de Rouen. La perception de ces redevances fut instaurée à St-Vincent, au tout début du XVe siècle. La perception de ces taxes s’explique par son statut de gardienne des étalons des mesures publiques utilisées à Rouen. Initialement, une petite tour de la nef de St-Vincent avait été attribuée à leur conservation. Elle disparut par la suite.
Le Porteur de sel de la gabelle au chevet de St-Vincent constituait une statue de pierre particulière à cette paroisse. La sculpture du XVIe siècle, détruite depuis 1944, semblait n’avoir d’abord été que peu appréciée par la fabrique de la paroisse. Elément du décor d’un contrefort extérieur de la chapelle Ste-Anne, placée au sud-est du chœur, la statue indiquait un emplacement proche du Grenier à Sel, destiné à emmagasiner le sel qui lui était offert en paiement. Le privilège de perception des redevances ne cessa qu’en 1649 par un arrêté du Conseil qui dispensa alors les navires marchands du paiement en nature. Il fut institué une rente annuelle de 140 livres à verser aux trésoriers de la paroisse.

On ne connaît rien des édifices qui ont précédé celui de la fin du moyen âge et de la Renaissance. Il dut être endommagé par la guerre et le siège de la ville au début du XVe siècle. Il fallut attendre la paix retrouvée pour que, alimenté par des indulgences et par des contributions volontaires des paroissiens, un incessant chantier mené de 1458 à 1530, aboutisse à un chef-d’œuvre d’architecture.
Entre 1458 et 1471, ont construisit la nef, la chapelle St-Nicolas et le portail nord.
En 1470, un marché fut passé avec le célèbre maître-maçon, Ambroise Harel. C’est certainement à lui que l’on peut attribuer la conception générale du chœur.
Le portail occidental avait été commencé en 1460. On l’attribue aussi à Ambroise Harel.

Les travaux du transept furent confiés à Pierre le Chynerre qui mena les travaux de 1472 à 1480. Le portail sud était terminé vers 1475.
Mais,  dès 1515, on mit à exécution le projet d’édification d’un nouveau chœur. Cela entraîna, jusqu’en 1556, presque un demi-siècle de travaux. Le maître d’œuvre en était Guillaume Touchet.
En 1562, St-Vincent fut dévastée par les Huguenots comme toutes les églises de la ville.
Les travaux se poursuivirent longtemps. La tour carrée  qui surmonte le transept ne fut entreprise qu’en 1669. Il était prévu de la surmonter d’une haute pyramide de bois recouverte de plomb qui ne fut jamais réalisée. Au début du

XVIIIe siècle, on terminait au nord les voûtes du croisillon du transept et le deuxième bas-côté de la nef.
L’église St-Vincent présentait un aspect pittoresque et irrégulier s’expliquant par les circonstances, et la longueur, de sa construction. Le chœur avait été construit d’un seul jet. Il était soutenu par des contreforts dont certains étaient à double volée. Intérieurement haut de 23 mètres, il était spacieux et clair. Supporté par dix colonnes cylindriques, il était entouré d’un déambulatoire sur lequel s’ouvraient des chapelles. Celle dans l’axe était vouée à la Vierge. Entre les arcs et les fenêtre hautes courrait un triforium ouvragé.
La tour construite sur le transept était de style gothique flamboyant, quoique construite dans la deuxième moitié du XVIIe siècle. Ce n’était pas une tour lanterne comme à St-Maclou. Elle se terminait en terrasse.

Le portail nord du transept n’était semble-t-il pas accessible avant le XIXe siècle. Il ne présentait pas de disposition particulière. Le portail sud, lui, était du plus grand intérêt par la richesse de ses ornements.
Le portail principal s’ouvrait sans le pignon occidental. Il débouchait dans l’aître (le cimetière) St-Vincent, qui lui-même donnait sur la rue de la Vicomté. Il était précédé d’un porche ajouré, voûté en pierre, au-dessus duquel il y avait un appentis en charpente destiné à recevoir les soufflets de l’orgue. Le pignon qui le surmontait n’était pas percé d’une rose, mais d’une grande fenêtre, comme pour les pignons des bas-côtés.
La nef avait peu d’ampleur, deux travées seulement, mais possédait des doubles collatéraux.
En 1791, l’église St-Vincent fut conservée avec douze autres églises paroissiales. Elle s’enrichit alors de dépouilles provenant d’églises supprimées, comme l’ancienne horloge de l’église St-Martin-du-Pont, ou, en 1862, les portes de l’église St-André sa voisine.
Fermée en 1793, elle avait été rachetée par la famille Ribard. Elle la préserva soigneusement pendant plus de 18 mois avant de la rendre au culte.
En 1802, l’église fut officiellement retenue comme succursale puis, en 1829, comme église paroissiale.
La Seconde Guerre Mondiale fut fatale à St-Vincent. Elle avait déjà été sévèrement touchée le 19 avril 1944, mais, après les premiers incendies du 30 mai dans la rue Jeanne d’Arc, l’édifice vit toutes ses voûtes s’effondrer le 31 mai sous les bombes alliées, qui, entre 11 heures et midi, frappèrent d’abord la tour carrée et le chœur avant d’anéantir la nef et la façade.

Seul le Grand Christ, intact, dominait encore les ruines de l’église anéantie.
Après la guerre, le quartier a été entièrement restructuré. Une nouvelle voie, la rue du Général Giraud, traverse l’emplacement de l’église. Aurait-elle pu être sauvée ? Les conditions qui étaient celles de l’époque ont fait répondre non. En 1947-1948 on rasa les vestiges, ne laissant en place qu’une partie du pignon méridional du transept et un morceau de mur. Plus tard, quelques pierres incrustées dans le trottoir marquèrent une petite partie du plan de l’édifice.

 
Clergé
En 1770, le clergé se composait de 14 personnes :
11 prêtres
1 diacre
1 sous-diacres
1 acolyte
En 1834, le curé était M. David, 5, rue Saint-Vincent.
 
Mobilier

Le mobilier de l’église St-Vincent était particulièrement riche.
Rien n’y manquait, chaire, balustrades, confessionnaux,… La décoration du sanctuaire, en particulier, était due à l’architecte De France (1735), les stalles à Mathieu Lecarpentier (XVIIIe siècle).
Une statue et quelques vestiges de lambris Renaissance ornent l’une des chapelles de la nouvelle église Ste-Jeanne-d’Arc.
Les portes sud du transept provenaient du portail nord de l'ancienne église Saint-André-aux-Fèvres. Elles comportaient des panneaux sculptés par Guillaume Mansel (1536), représentant La vocation des apôtres Pierre et André.
Un autel de style Louis XIV situé dans le collatéral sud provenait de l'église Saint-André.

 
Tapisseries
L’église possédait de superbes tapisseries datant des XVIe et XVIIIe siècles. Elle sont entrées dans le Trésor de la Cathédrale au début du XIXe siècle. Elles provenaient de Bruges.
Elles avaient été offertes par les trésoriers en fin d'exercice en dispense de tendre l'église le jour de la saint Vincent.
Un 1909, elles furent victimes d'un audacieux vol.
Il restait 11 tapisseries dans l'église avant la seconde guerre mondiale. Elles faisaient partie de deux séries.
La Vie de saint-Vincent, Diacre et Martyr.
- St-Vincent reçoit la torture (1600, offerte par Philippe Richer)
- Miracles précédent la mort du saint (1605, offerte par Jaques Mysson)
Les mystères de la vie de N. S. J.-C, données petit à petit par les trésoriers de la paroisse.
- Le Christ présenté devant Hérode (1630, offerte par Claude Rebotte)
- La Résurrection (1641, offerte par Jacques Carré)
- Mariage de la Vierge et Présentation de la Vierge au Temple (offerte par un Pavyot).
- Présentation au temple et Fuite en Egypte (offerte par un Behotte)
- Couronnement d'épines et Envoi au Supplice (1620).
- Jésus attaché à la croix et Jésus élevé en Croix.
- Le couronnement de la Vierge.
- Jésus au Jardin des Oliviers.
- Joseph expliquant le songe de Pharaon.

Tapisseries dans le Trésor de la Cathédrale

Jésus parmi les Docteurs L'Ascension de Jésus-Christ Arrestation du Christ Couronnement d'épines

Tapisseries restées à Saint-Vincent jusqu'à la seconde guerre mondiale

     
  Premiers supplices Ordination et Jugement
 
Tableaux
Le retable du collatéral sud contenait un tableau représentant une Pieta.
Le retable de l'autel de la chapelle des Fonts contenait un tableau représentant le Baptême d'un Apôtre (1763).
dans le bas côté sud, il y avait un tableau de La Résurrection, d'après Restout.
 
Vitraux

Mais St-Vincent était surtout connue pour la qualité de ses vitraux de la fin du XVe, et du XVIe siècles.
Lorsque l’on s’attaqua à la reconstruction du chœur au XVIe siècle, les verrières anciennes furent démontées. Les travaux menés pratiquement à leur terme, le peintre-verrier, Mausse Hertault, effectua leur restauration et l’installation de nouveaux, en 1531.
Démontés avant la seconde guerre mondiale, la plus grande partie est maintenant dans l'église Sainte-Jeanne d'Arc de la place du Vieux-marché. D'autres sont à la Cathédrale, dans la chapelle de la Vierge et dans la Tour Saint-Romain. Certains sont encore au Musée des Beaux-Arts.
Des vitraux du XIXe siècle occupaient certaines fenêtres. Ils n'avaient pas été démontés avant les bombardements et ont disparu.
Bas côté sud :
Vitrail de Duhamel-Marette (1878).
Vitrail de Duhamel-Marette (1879) Reproduction d'un sujet qui existait dans l'ancienne église du Saint-Sépulcre.
Vitrail de Duhamel-Marette (1875) Rappelant des sujets qui figuraient dans l'église Saint-André.
Vitrail de Duhamel-Marette (1875) Scènes de la vie de Saint-Etienne.
Bas côté nord :
Vitrail de Duhamel-Marette (1884) Scènes de la vie de Jeanne d'Arc.
Chapelle des Fonts :
Vitrail de Duhamel-Marette (1875) Gédéon
Vitrail de Duhamel-Marette (1869) Le Jugement Dernier.

Vitraux disparus

Jugement Dernier Jeanne d'Arc

Voir les vitraux sur Rouen-Histoire

 
 
Orgues
D'après l'architecte Georges Ruel, au moins le buffet provenant de l'église serait à l'église Sainte-Catherine d'Honfleur.
L’orgue de l’église fut remis en état en 1535 par Antoine Josseline. Au XVIIIe siècle, en 1770, l’illustre facteur d’orgues rouennais, Jean-Baptiste-Nicolas Lefebvre contribua à transformer considérablement cet instrument. Il travailla notamment à l’amélioration du positif.
De nouvelles orgues ont été inaugurées en mars 1902.

 
Cloches

Quatre cloches se trouvaient dans le clocher au XIXe siècle. Trois s'y trouvaient depuis 1809. Elles avaient été achetées en Belgique et provenaient de Malines (chapelle Saint-Martin, confisquée en 1799 et détruite en 1830). Elles avaient été fondues en 1766 par Martin Legros (1714-1789)
Il est vraisemblable que deux des trois cloches avaient été enlevées pendant l'occupation allemande.
La cloche subsistant, miraculeusement échappée de la ruine de l'église, a d'abord servi à la chapelle provisoire de l'église Saint-Maclou. Elle a été remonté près de la moderne église Sainte-Jeanne d'Arc. Elle mesure 0,73 m de haut et 0,91 m de diamètre.

 
Confréries

Confrérie du saint Sacrement, pour toutes les personnes.

 
Localisation


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Bibliographie
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Tableau de Rouen,
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© Copyright Jacques Tanguy, février 2013