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Baie 15

Vitrail du Rosaire

1887 (Duhamel-Marette).

Il s'agit du seul vitrail du XIXe siècle ayant échappé à la destruction pendant la seconde guerre mondiale.

 

Le mot rosaire vient de l’usage médiéval de couronner de roses les statues de la Vierge, chaque rose symbolisant une prière. Le chapelet découle de cette représentation. Son usage était déjà en vigueur au 12e siècle lorsque saint Bernard contribua à le développer. Saint Dominique en fit autant au 13e siècle et prescrivit à ses religieux de porter un chapelet à leur ceinture.

Le chapelet comporte cinq séries de dix grains, chaque série étant suivie d’un grain séparé. La récitation du chapelet comporte en effet cinq dizaines d’Ave Maria (Je vous salue Marie), chaque dizaine étant introduite par un Pater (Notre Père) et suivie par un Gloria (Gloire au Père).

Un rosaire correspond à la récitation de trois chapelets. C'est la récitation de cent cinquante "Je vous salue Marie," qui rappellent les cent cinquante  Psaumes.  

Il est composé de  trois chapelets de cinq mystères 

Premier chapelet : Les mystères joyeux
Deuxième chapelet : Les mystères douloureux
- L'Agonie du Christ
- La Flagellation
- Le couronnement d'épines
- Le portement de la Croix
- La Cruxifiction
Troisième chapelet : Les mystères glorieux
- La Résurection
- L'Ascension
- La Pentecôte
- L'Assomption
- Le couronnement
L'institution du Rosaire


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