Eglise et Abbaye de Saint-Amand

L’abbaye aurait été fondée vers 1042 par Gosselin d’Arques, vicomte de Rouen et par sa femme Emmeline. Gosselin avait fondé vers 1030 l’abbaye de la Trinité du Mont de Rouen. Il pourrait donc s’agir d’une fondation jumelée comme on en a un exemple avec les abbayes de St-Etienne et de la Trinité fondés à Caen par Guillaume de Conquérant et son épouse Mathilde de Flandes.
Il et toutefois très vraisemblable qu’existait déjà là une abbaye pré-normande. Des traditions situent son origine à l’époque mérovingienne et vont même jusqu’à affirmer un passage du saint mort en 674. L’utilisation du vocable de St-Amand est lui aussi préroman et s’attribue difficilement à une fondation féminine.

Une charte de confirmation donnée par Richard II à St-Ouen cite l’église St-Amand parmi les biens rendus par Rollon au monastère. Nous pouvons donc penser que Gosselin aurait pu acquérir le monastère de l’abbaye et qu’il ne s’agirait que d’une refondation.L’abbatiale était dédiée à saint Amand, l’apôtre de la Belgique, évêque d’Utrecht et également de Maastricht, mort vers 675. Une lointaine et vraisemblable tradition évoquée au XIIème siècle affirme qu’un établissement monastique édifié par Clovis II, fils de Dagobert Ier, aurait été consacré ici-même par saint Amand en personne.
Certes, saint Amand appréciait la ville de Rouen et y séjourna. Conseiller de Dagobert Ier, il avait d’abord été un membre influent de la cour des rois mérovingiens qu’il fréquentait assidûment comme saint Eloi ou Dadon... qui n’était autre que l’illustre archevêque de Rouen plus connu sous le nom de saint Ouen. Saint Wandrille, saint Philibert, proches des rois francs, gravitaient également dans les allées du pouvoir.
L’abbaye de St-Amand recèlerait des traces antiques de l’occupation romaine dans son sous-sol. Des substructions importantes pourraient appartenir à des temples. En fait, le site entièrement rasé fut transformé en un lieu de culte chrétien. Il reste que le mur d’enceinte de St-Amand coïncide avec les remparts primitifs de la ville. Le théâtre du Rouen gallo-romain n’est plus conservé que dans le parcellaire de la place St-Amand (par la présence d’un espace hémicirculaire d’un diamètre de 75 mètres). Au XVIIème siècle, selon l’historien Farin, on voyait encore une tour attachée à un pan de muraille dans la cave d’une maison proche du jardin des religieuses de St-Amand. D’ailleurs, deux des plus anciennes basiliques eurent leurs chevets engagés dans une tour du rempart de la ville. Dans la rue de la République, en mai 1964, fut précisément retrouvée la base d’une tour de l’enceinte. Elle ne fut visible que peu de temps lors de travaux souterrains.
Bien que dépourvues d’une vaste église, les Bénédictines de St-Amand possédèrent toujours des bâtiments d’ampleur. Sur les lieux, des religieuses, issues des plus illustres dynasties normandes ou de la famille royale (comme l’abbesse Mathilde IV, de 1261 à 1268, une cousine de saint Louis) administrèrent l’une des plus riches et des plus puissantes abbayes féminines de Normandie. Son abbesse possédait même le privilège de donner l’anneau aux archevêques de Rouen. Ceux-ci accédaient à leur siège avec la bénédiction de l’abbé de St-Ouen et de l’abbesse de St-Amand, issus de deux monastères voisins érigés à Rouen. L’ultime visite à l’archevêque s’effectuait au chevet de son propre lit de mort. Lors de sa première rencontre avec le prélat de Rouen, l’abbesse déclarait , au moment de la remise de l’anneau pastoral : “Je vous le donne vivant, vous me le rendrez mort”.
Le vicomte d’Arques et de Rouen, Premier conseiller de Richard III (éphémère duc de Normandie de 1026 à 1027), Gosselin, et sa femme, Emmeline, furent les fondateurs du monastère de St-Amand. Ils sont également évoqués sous le nom de Goscelin, Fils Heddon, et d’Ameline ou Emeline.
Aux portes de la ville, Gosselin et Emmeline avaient déjà fondé une abbaye de Bénédictins, sous le vocable de la Trinité au Mont-de-Rouen qui devint plus tard l’abbaye de Ste-Catherine. Initialement, en 1008, Gérard, abbé de Crépy-en-Valois, avait réussi à réformer l’abbaye normande de St-Wandrille et choisit même d’y recruter ensuite le premier embryon d’une nouvelle implantation de Bénédictins. Très vite, celle-ci se transforma en un réel monastère qui fut érigé en une abbaye dédiée à la Trinité (puis à sainte Catherine vers 1085). Cette abbaye fut celle que contribuèrent alors essentiellement à édifier Gosselin, qui s’y fit religieux, et Emmeline.
Il faut ajouter qu’un ancien monastère de femmes est attesté à l’emplacement de l’abbaye de St-Amand et déjà mentionné vers 820,  reconnu désormais comme établissement monastique féminin. L’antique chapelle St-Léonard érigée sur le site pourrait constituer l’édifice conventuel d’un prieuré ruiné par les raids vikings du milieu du IXème siècle sur Rouen. Nos deux fondateurs n’auraient peut-être fait que rétablir ce lieu monastique en faveur des religieuses Bénédictines. Néanmoins, les titres authentiques de la fondation se situeraient entre 1030 et 1040. Il semblerait qu’à cette période, les moines de St-Ouen suscitèrent aussi la création de l’abbaye de St-Amand. Ils encouragèrent vivement les vœux des pieux fondateurs.
La nouvelle abbatiale achevée, elle fut consacrée le 28 septembre 1068 par Jean II, évêque d’Avranches et futur archevêque de Rouen, demi-frère d’Emma Ière d’Ivry alors veuve d’Osbern le Sénéchal depuis 1039 et qui fut, de 1049 et jusque vers 1070, la première des 43 abbesses de St-Amand dont la liste (établie à la fin de ces lignes) nous est précisément connue. La fondatrice, Emmeline, fit le même vœu de piété que son mari. Elle se retira dans le monastère de St-Amand. Deux nièces de Jean II d’Avranches, Emma et Jeanne de Beaufou, furent également religieuses de l’abbaye. Béatrix, la propre fille de Gosselin et Emmeline, se retira aussi à St-Amand et renonça à une vie dans le monde, au début de l’avènement du futur Guillaume le Conquérant. Ce dernier s’avéra toujours aussi généreux en faveur de St-Amand. Le dernier acte écrit qu’il fit parvenir d’Angleterre, à peine quelques années avant sa mort, l’avait été pour l’abbaye et en sa faveur. Il lui légua de nombreux biens en Normandie et Outre-Manche. L’aître St-Amand (cimetière des religieuses) - actuelle place St-Amand - s’étendait initialement devant le portail occidental, à l’extrémité de la nef.
Le successeur  de Jean II d’Avranches, le nouvel archevêque de Rouen de 1079 à 1110, Guillaume Ier Bonne-Ame, soutint encore l’abbaye de St-Amand quand se constitua, en 1100, la paroisse de St-Amand. Le chevet du vaisseau allongé de l’église fut réservé aux Bénédictines. Quant à l’église paroissiale, elle comprenait le bas de la nef (vers la place St-Amand) qui fut murée, matérialisant encore plus nettement au XIIIe siècle - mais probablement avant - la séparation effective entre les deux églises St-Amand (celle de l’abbaye et celle de la paroisse). Le mur devait cependant demeurer longtemps percé d’une porte, seule communication entre l’abbatiale et l’église paroissiale.
L’abbatiale fut à la fois placée sous le vocable de la Vierge (ou de Notre-Dame) et de St-Amand. En ce qui concerne la chapelle St-Léonard, elle pourrait remonter à une plus haute antiquité, avant la fondation de l’abbaye. En effet, simple oratoire de porte à l’origine, il reste associé à une porte également dite de St-Léonard. Richard Ier sans Peur, duc de Normandie, détenu à Laon par le roi de France, Louis IV d’Outremer, étant heureusement parvenu à s’échapper de sa prison et voulant rendre grâce à saint Léonard (patron des prisonniers aspirant à leur délivrance), nomma aussitôt une chapelle de Rouen à la gloire de ce saint, dès son retour en Normandie. En cette première moitié du Xème siècle, le sanctuaire que le duc voulut dédier à saint Léonard devait être celui de la porte de la ville, annexé au monastère primitif. On apercevait encore quelques vestiges de cette ancienne porte dans les jardins de St-Amand à l’époque de Farin. Un deuxième et modeste sanctuaire - autre que la chapelle St-Léonard - a certainement précédé l’abbaye de St-Amand sur le site. De plus, à partir du XIe siècle, la dévotion à saint Léonard ne fit que croître. La diffusion de son culte fut amplifiée par l’écriture de sa première vie en termes légendaires, reprise par Jacques de Voragine dans La Légende dorée.
Quelques cas de conversions de juifs rouennais au christianisme furent mis au crédit des religieuses de St-Amand au XIIIème siècle. L’un d’eux, revenu au judaïsme, fut brûlé sur ordre de l’archevêque Eudes Rigaud en 1266.
Diverses confréries utilisèrent la chapelle St-Léonard successivement. En 1443, Raoul Roussel, archevêque de Rouen, la donna aux brasseurs de bière rouennais pour y établir leur confrérie. Le jour de la fête de St-Amand, ceux-ci réunis donnaient même un dîner aux religieuses dans le monastère. Cette coutume ne fut abolie que vers 1600, en raison des problèmes qu’elle posait.
En 1562, les protestants ravagèrent et pillèrent l’abbaye.
A la suite de tous ces désastres, l’abbesse Anne de Souvré fit alors pratiquement renaître le monastère de ses cendres et édifia deux nouvelles chapelles dans le chœur de l’abbatiale. Elle veilla, de plus, à rétablir la discipline et fit respecter l’observance de la règle monastique avec plus de rigueur. Mais, en 1569, la chute de l’antique tour de St-Amand, située au centre de l’abbatiale, du côté du cloître, entre le chapitre et l’église (sur un lieu appelé avant 1698 l’avant-sacristie), fut soudainement à déplorer. Cet ancien clocher recélait une chapelle, placée sous le vocable de St-Pierre et son écroulement causa quelques dommages aux voûtes des édifices religieux de l’abbaye et de la paroisse. Il est à noter que l’église St-Amand, dédiée aussi à Notre-Dame, avait été associée initialement à un antique et proche sanctuaire St-Pierre situé sur son côté sud. Une telle disposition plaçant sous le double patronage de Notre-Dame et de St-Pierre un ensemble ecclésial monastique fut courante dans des fondations féminines remontant au VIIe siècle.
Aussi, il fut construit sur l’abbatiale un autre modeste et élégant petit clocher. Anne de Souvré décida, enfin, de remettre la chapelle St-Léonard à la paroisse de St-Amand. Des incidents naquirent au fil des siècles, toujours au sujet des charges d’entretien réparties entre paroisse et abbaye. Dans l’une des nouvelles chapelles de l’abbatiale, les tombeaux de trois abbesses, Anne, Madeleine et Léonor de Souvré, furent transférés au XVIIe siècle : la chapelle de la Vierge.
D’autres abbesses se sont succédées : Marie d’Annebaut, qui fit édifier une tourelle à encorbellement en 1533, Yolette Sochon, qui a toujours ses armes gravées dans la pierre sur une fontaine de St-Amand, avec celles d’Isabeau et de Thomasse Daniel... Quatre crosses d’abbesses ont été retrouvées dans des sépultures et sont exposées au Musée des Antiquités de Rouen. Trois précieux reliquaires du XVIIe siècle, provenant du chœur de l’abbatiale, ont abouti à l’église St-Patrice de Rouen et y sont encore actuellement conservés. Un quatrième reliquaire de la même époque servait autrefois de tabernacle à un autel secondaire de l’église St-Maclou de Rouen. Il n’a d’ailleurs pas été anéanti par les bombardements de 1944. Il faut noter un autre vestige du mobilier de l’ancienne abbatiale : un retable qui orne maintenant l’église de Boscherville dans le département de l’Eure.
La communauté de religieuses fut présente jusqu’à la Révolution dans son abbaye. Supprimé dès 1790, le monastère servit de 1792 à 1797 de magasin central de l’habillement à l’armée puis fut vendu. L’enclave St-Amand disparut au milieu du XIXe siècle. Des pavés historiés y furent trouvés. La rue Neuve St-Amand puis le percement d’une rue Royale finalement appelée rue de la République entraînèrent des bouleversements dans le paysage de ce quartier qui vit de nouvelles constructions sortir de terre entre 1853 et 1858 sur l’emplacement dégagé.

Aucun vestige de l’abbatiale (entièrement rasée) ne subsiste. Seuls quelques pans de mur et l’entrée de l’abbaye demeurent les rares témoins, rue et place St-Amand, du passé des lieux. Le chœur de l’abbatiale se situait, en partie, à la hauteur de l’actuel 86, rue de la République. Quelques ruines dans l’impasse St-Amand (peu accessibles) et au 78, rue de la République (arche du portail gothique) demeurent. Il reste cependant la porte d’entrée de style Louis XIV intacte, pratiquée à la base des anciens murs bordant la rue St-Amand. Munie d’une belle arcade et d’un linteau autrefois sculpté de feuilles de chêne, elle était surmontée d’un bandeau à l’inscription en latin aujourd’hui disparue : Non est hic aliud nisi domus dei (c’est-à-dire  Ici, il n’est d’autre maison que la maison de Dieu, Genèse XXVIII).

 
Clergé
En 1770, le clergé de l'église se composait de 4 personnes :
3 prêtres
1 diacre
Le clergé de l'abbaye se composait de 49 personnes :
30 religieuses-professes
3 novices
10 sœurs.
4 chapelains et un confesseur.
En 1723, les revenus de la communauté étaient de 29 523 livres.
 
Tableaux
On pense que L'Assomption de la Vierge de Pierre Letellier, conservé au Musée des beaux Arts, provient de l'abbaye de Saint-Amand.
Le tableau Sainte Anne instruisant la Vierge, de Laurent de la Hyre (ou de son atelier) est conservé au Musée des Beaux Arts. Il aurait été commandé par l'abbesse Anne (ou Eléonore ?) de Souvré, vers 1640.
Une Présentation au temple de Pierre Letellier provient peut-être de cette église.
L'Annonciation d'Adrien Saquespée est également dans ce musée.
Un tableau italien du XVIIe siècle, d'auteur inconnu, représente Saint François d'Assises réconforté par un ange (anonyme italien du début du XVIIe siècle).
La Vierge entre les Anges (dite aussi de Saint-Sixte), copie du milieu du XVIIe siècle d'un tableau de Raphaël qui se trouve au Musée de Dresde est signalé dans les collection du Musée des Beaux-arts dès le début du XIXe siècle. Ils est provisoirement déposé dans le retable de l'église Saint-Nicaise.

Sainte Anne instruisant la Vierge Assomption de la Vierge Présentation au temple

L'Annonciation Saint François d'Assises Vierge entre les Saints
 
Localisation


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Bibliographie
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Voyages Liturgiques de France
, Moleon (Sieur de),
1718, p. 388-389
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Description géographique et Historique,..., Toussaint Duplessis, 1740, t II, p.40,...
Abrégé de l'histoire ... de la ville de Rouen,
Lecoq de Villeray, 1759, p. 317-318, 378-380.
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Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France
, J. J. Expilly, Tome VI, 1770, p. 421-422, 448-450.
Tableau de Rouen,
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Description historique des maisons de Rouen,
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Lettres sur la ville de Rouen, Alexandre Lesguilliez, 1826, p. 322.
Notice sur l'abbaye de Saint-Amand à Rouen, E. H. Langlois, 1834.

Album Rouennais, E. Dumée, Ch. Richard, 1847.
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Notice sur Isabeau de Vieux-Pont, abbesse de Saint-Amand de Rouen, de Glanville, Préc Acad, 1859, p. 231.
Coup
d'œil  rétrospectif sur 24 églises paroissiales supprimées à la Révolution, E. de la Querrière, Bull Ste d'Emulation, 1864, p.229
Abbaye de Saint-Amand, Durand, Bull. CDA, 1870-1871, p. 239.
Répertoire archéologique du départ. de la S.-Inf.,
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Notice sur la reconstruction de l'ancienne tour de l'abbaye de Saint-Amand,
Ch. de Beaurepaire, Bull. CDA, 1882-84, p. 336-344.
Abbaye de Saint-Amand, destructions partielles, Bull. CDA, 1885-1887, p. 392.
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Position des thèses, l'abbaye de Saint-Amand de Rouen,
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Les abbesses de Saint-Amand de Rouen du XIe au XVIe siècle,
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La peinture d'inspiration religieuse à Rouen au temps de Pierre Corneille,
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Réhabilitation d'un immeuble 3 rue saint-Amand,
Ch. Schneider, Bull. CDA, 1984-1985, p. 175-176.
Rouen, du passé toujours présent... au passé perdu,
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Rouen aux 100 clochers, F. Lemoine,
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© Copyright Jacques Tanguy, février 2013