Henry Barbet (1789-1875)
Maire de Rouen (1830-1847)
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Cet ouvrage présente les origines cauchoises puis protestantes de la famille Barbet. Victime des persécutions, cette famille se divise en deux branches distinctes au XVIIIè siècle. Tandis que certains restent dans le Pays de Caux, d’autres, comme Jacques-Juste Bonaventure Barbet, tentent leur chance à Rouen, dans les manufactures d’indiennes.
Henry Barbet est l'un des trois frères Barbet. Son père,
Jacques-Juste Bonaventure BARBET est né en 1756 à St Vincent d'Aubermare
(Cramesnil) dans le canton de Saint-Romain de Colbosc. Il est
d'ailleurs le fils de Guillaume BARBET DE LA HAYE, officier garde
côte à Sandouville, fermier et de Suzanne de la Haye. Jacques est
leur 7ème et dernier enfant. (C'est le petit frère de mon ancêtre). |
Cet ouvrage présente les origines cauchoises puis protestantes de la famille Barbet. Victime des persécutions, cette famille se divise en deux branches distinctes au XVIIIè siècle. Tandis que certains restent dans le Pays de Caux, d’autres, comme Jacques-Juste Bonaventure Barbet, tentent leur chance à Rouen, dans les manufactures d’indiennes. Henry Barbet est l'un des trois frères Barbet. Son père, Jacques-Juste Bonaventure BARBET est né en 1756 à St Vincent d'Aubermare (Cramesnil) dans le canton de Saint-Romain de Colbosc. Il est d'ailleurs le fils de Guillaume BARBET DE LA HAYE, officier garde côte à Sandouville, fermier et de Suzanne de la Haye. Jacques est leur 7ème et dernier enfant. (C'est le petit frère de mon ancêtre). Ses frères et soeurs ayant eut leur part lors de la succession paternelle, ils s'établissent dans la région de Saint-Romain de Colbosc, Bolbec et Lillebonne. Seul Jacques-Juste Bonaventure quitte la région de Bolbec après un séjour dans les filatures. Il s'établit à Darnétal puis à Déville, fondant une usine d'indiennes. Napoléon viendra à deux reprises lui rendre visite. Il épouse en 1783 au temple de Tournay, Marie Marguerite GOGIBUS, une veuve aisée de la région de Dieppe. Elle lui donnera 3 fils : Jacques-Juste Barbet de Jouy, Henry et Auguste. Jacques-Juste Bonaventure BARBET meurt en 1813 à Déville, d'une pleurésie contractée lors d'une inondation du Cailly en sauvant des pièces de toiles et des éléments de machines. Henry BARBET est né à Déville en 1789. Il épouse Marguerite ANGRAN, en 1810 à Rouen. Malgré une opposition marquée à la politique du roi Charles X, il fera une belle carrière politique : Maire de Déville puis de Rouen de 1830 à 1847, 40 années au Conseil général de la Seine-inférieure, dont 20 ans de présidence, 42 ans à la Chambre de commerce et d’industrie de Rouen puis député durant 19 ans. Ce notable libéral entreprend d’importants travaux de modernisation de la ville de Rouen, l’établissement de la ligne de chemin de fer Paris-Rouen inaugurée en 1843, la création de musées, une politique d’aide et surtout de mise au travail des nécessiteux, qui ne doivent pas devenir des assistés. Grand officier de la Légion d’Honneur, il est fait pair de France en 1845, en même temps que Victor Hugo. Il décède le 17 mars 1875 dans son château de Valmont. |
L'ouvrage est en vente par souscription jusqu'au 15 mai au prix de 12 euros et 4 euros de frais de port, quel que soit le nombre d'exemplaires. A partir de cette date, il sera à 15 euros. |
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